dimanche, mars 08, 2015

Valls ou le IVème Reich du sozialisme


 « Le mot socialiste ne veut plus rien dire », « c’est minuit moins le quart, là, avant la mort clinique du PS »(mercredi 10 juin 2009) affirmait Manuel Valls après l’échec du PS aux élections européennes de 2009.

La personne psychopathe est généralement habitée par une forme virulente de narcissisme, non seulement très centrée sur elle-même mais aussi très manipulatrice, parfois sadique, et très imprégnée par l'idée de contrôle et de pouvoir. Une caractéristique importante du psychopathe est la présence chez lui de ce qu'on nomme généralement un « charme superficiel ». Ces personnes sont généralement en mesure, du moins à court terme, de gagner sur les autres très facilement. Ils seraient généralement décrits comme des gens « très attractifs », mais en surface seulement. Le psychopathe aura par exemple une activité criminelle (beaucoup, mais pas tous, de tueurs en série sont des psychopathes, et des criminels connus comme escrocs sont souvent des psychopathes), ou bien il s'engagera dans une carrière politique. La clé n'est pas le type d'activité dans laquelle le psychopathe s'engage, mais le degré de contrôle qu'il exerce sur les autres.

C'est dommage car dans le cas qui nous occupe, notre exemple, il fait montre d'un Q. I. assez limité, il n'y a qu'à l'écouter, ça saute aux oreilles. Il lui arrive aussi, par exemple, de manquer de naturel, quasiment en permanence, d'avoir sans cesse ce côté emprunté, de manquer d'aise, avec des attitudes rigides, crispées (les mâchoires...), qui masquent mal son besoin profond d'auto-contrôle, ce qui le fait ressembler étrangement à un communicant engoncé par la multitude de conseils qu'il s'infligent par le biais de conseils en communication. Il peut aussi avoir cette propension à éructer, à surjouer l'autorité et à jouer de la plus pitoyable des façons la vertu outragée et montrer ainsi comme un nez au milieu du visage toute la fausseté qui l'habite et sans cesse à la manœuvre. Monsieur, dans un élan irrépressible, de bouffées délirantes, accuse à tout bout de champ « laâ haîîîîîne » des autres (le nec plus ultra des arguments « politiques » de cette indigente classe politique) alors que le triste accusateur, par effet miroir, ne fait que parler de lui... Il lui arrive aussi de mentir très souvent. D'ailleurs tout son système est battit sur cela. Un système du mensonge (tenu à bout de bras par ses aides de kampf de la Kommunicazion) qui, par l'intelligence et l'habileté qu'il requiert pour le maintenir, pour son malheur, lui font défaut, lui faisant régulièrement perdre les pédales. Le pauvre... le pauvre type... le crétin, le bouffon. Le fou ?

En un mot, en ce temps de spectacle permanent des maladies politiques tyranniques : un psychopathe.

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