vendredi, avril 06, 2007

Esclaves, Égalité, Fraternité

Où l'on voit que la personne entière d'Azouz Begag ne fait qu'irriter le cynisme et la roublardise d'un Nicolas Sarkosy...
Où l'on voit que dans la vulgarité d'existence qui hante les démocraties, le parti de l'ordre parlera toujours à ceux qui veulent l'avènement d'un tyran-copain pour mettre fin aux querelles...
Où l'on voit que les habitants des villes possédantes et friands des farces et attrapes, obéiront et feront ce qu'on leur demande de faire. Comme les zombies aux oreilles desquels la voix carrée des serviteurs du capital font tinter la sonette à l'heure de la pseudo-pâtée.
Où l'on voit que les néo-esclaves sont libres, heureux et radieux. Comme ils se le disent. Puisque les derniers restes de sens de la justice, de l'histoire, de logique, ont été ravagés chez eux. Ceux qui ne sentent rien à la normalisation de leur vie.
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