vendredi, octobre 23, 2020
jeudi, octobre 22, 2020
Le nombre de la bête
11 Puis je vis monter de la terre une autre bête, qui avait deux cornes semblables à celles d'un agneau, et qui parlait comme un dragon. 12 Elle exerçait toute l'autorité de la première bête en sa présence, et elle faisait que la terre et ses habitants adoraient la première bête, dont la blessure mortelle avait été guérie. 13 Elle opérait de grands prodiges, même jusqu'à faire descendre du feu du ciel sur la terre, à la vue des hommes.
14 Et
elle séduisait les habitants de la terre par les prodiges qu'il lui
était donné d'opérer en présence de la bête, disant aux habitants de la
terre de faire une image à la bête qui avait la blessure de l'épée et
qui vivait.
15 Et
il lui fut donné d'insuffler la vie à l'image de la bête, afin que l'image de la
bête parlât, et qu'elle fît que tous ceux qui n'adoreraient pas l'image
de la bête fussent tués.
16 Et
elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et
esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front,
17 et que personne ne puisse acheter ou vendre s'il n'a pas la marque, c'est-à-dire le nom de la bête ou le nombre correspondant à ce nom.
18 C'est là qu'il faut de la sagesse : que celui qui est perspicace calcule le nombre de
la bête. Car c'est un nombre d'homme, et son nombre est six cent
soixante-six.
Apocalypse 13 : 11-18
mercredi, octobre 21, 2020
The Island (2005)
Synopsis du film
En 2019, Lincoln 6-Echo (Ewan McGregor) et son amie Jordan 2-Delta (Scarlett Johansson) font partie des centaines de pensionnaires d'un gigantesque complexe fermé, aseptisé, mais dit idyllique. À en croire le docteur Merrick (Sean Bean) et ses agents, une terrible contamination a ravagé la Terre quelques années auparavant. Heureusement, des survivants sont régulièrement retrouvés pour être ramenés dans le complexe dont le but est de préserver les résidents de la contamination. La vie y est encadrée et étroitement surveillée...
lundi, octobre 12, 2020
vendredi, octobre 02, 2020
Geoffroy de Lagasnerie, une synthèse à lui tout seul
Geoffroy de Lagasnerie, le sociologue qui pense bien : « Je suis contre le paradigme du débat, contre le paradigme de la discussion. (...) J'assume totalement le fait qu'il faut reproduire un certain nombre de censures dans l'espace public pour rétablir un espace où les opinions justes prennent le pouvoir sur les opinions injustes »
30 septembre 2020, France Inter
Libellés : censure, débat, discussion, espace public, France Inter, Geoffroy de Lagasnerie, opinions injustes, opinions justes, paradigme