lundi, mars 16, 2015
dimanche, mars 15, 2015
« La force la plus redoutable dans tout ce monde impie »
« La seule vérité que vous connaissez est celle délivrée par la télé. Il y a aujourd'hui toute une génération dont toutes les connaissances proviennent de la télévision. La télévision est le gospel. La révélation suprême. La télévision peut faire et briser des présidents, des papes, des 1ers ministres. C'est la force la plus redoutable dans tout ce monde impie. Pauvres de nous si elle tombe entre de mauvaises mains. (...) Cette société est désormais entre les mains de la CCA, la Communication Corporation of America. (...) Et quand la 12e plus grande société du monde contrôle la force de propagande la plus redoutable dans tout ce monde impie, qui sait quelle merde on refourguera comme étant la vérité sur ce réseau. Alors écoutez-moi. Écoutez-moi bien. La télévision n'est pas la vérité. La télévision est un parc d'attractions. La télévision est un cirque, un carnaval, des acrobates itinérants, des conteurs,
danseurs, chanteurs, jongleurs, monstres de foire, dompteurs et joueurs de football. On fait dans la lutte contre l'ennui. Alors si vous voulez la vérité, adressez-vous à Dieu. Adressez-vous à vos gourous. Adressez-vous à vous-mêmes. Parce que c'est le seul endroit où vous trouverez une vérité. Mais non, la vérité n'émanera jamais de nous. On vous dira ce que vous voulez entendre. On ment. On vous dira que Kojak coince toujours le meurtrier, qu'on n'a pas le cancer dans la maison d'Archie Bunker. Quels que soient les ennuis du héros, ne vous en faites pas. À la fin, il gagne. On vous dira n'importe quelle merde que vous voulez entendre. On fait dans l'illusion. Rien de tout ça n'est vrai. Mais vous êtes assis là, jour après jour, nuit après nuit, de tous âges, couleurs, croyances. Vous commencez à croire aux illusions qu'on vous balance, que la télévision est la réalité et que vos vies sont irréelles. Vous faites ce que la télé vous dit. Vous vous habillez, mangez comme la télé, élevez vos enfants, et pensez comme elle. C'est une démence collective, bande de fous. Au nom de Dieu, c'est vous qui êtes réels. C'est nous qui sommes illusions. »
Monologue d'Howard Beale (Peter Finch), présentateur de la chaîne de télévision UBS News dans le film Network de Sidney Lumet (1976)
mercredi, mars 11, 2015
Déficient Manuel et intellectuel
depuis longtemps, j'ai des tremblements au niveau des mains, mais depuis plusieurs mois seulement dans la main gauche, est sans arrêt.
j ai encore vue le médecin aujourdui, pour ma main qui tremble. pas de changement, le médecin il a dit que les docteurs ne savaient pas tout se qui se passe dans le cerveau. D 'après se que j'ai comprie se serai émotionel. J'ai peur qu'on me voie diférent. Quand on me regarde les tremblements j'en ai encore plus, alors il faut que j'arrête ma main gauche avec ma main droite. Est ce que une personne et dans mon cas, et pourrez m'en dire d'avantage. merci.
Manu57 »
Libellés : Main gauche, parkinson, tremblements, Valls
dimanche, mars 08, 2015
Valls ou le IVème Reich du sozialisme
« Le mot socialiste ne veut plus rien dire »,
« c’est minuit moins le quart, là,
avant la mort clinique du PS »(mercredi 10 juin 2009) affirmait Manuel Valls après l’échec du PS aux élections européennes de 2009.
La personne psychopathe est généralement habitée par une forme virulente de narcissisme, non seulement très centrée sur elle-même mais aussi très manipulatrice, parfois sadique, et très imprégnée par l'idée de contrôle et de pouvoir. Une caractéristique importante du psychopathe est la présence chez lui de ce qu'on nomme généralement un « charme superficiel ». Ces personnes sont généralement en mesure, du moins à court terme, de gagner sur les autres très facilement. Ils seraient généralement décrits comme des gens « très attractifs », mais en surface seulement. Le psychopathe aura par exemple une activité criminelle (beaucoup, mais pas tous, de tueurs en série sont des psychopathes, et des criminels connus comme escrocs sont souvent des psychopathes), ou bien il s'engagera dans une carrière politique. La clé n'est pas le type d'activité dans laquelle le psychopathe s'engage, mais le degré de contrôle qu'il exerce sur les autres.
C'est dommage car dans le cas qui nous occupe, notre exemple, il fait montre d'un Q. I. assez limité, il n'y a qu'à l'écouter, ça saute aux oreilles. Il lui arrive aussi, par exemple, de manquer de naturel, quasiment en permanence, d'avoir sans cesse ce côté emprunté, de manquer d'aise, avec des attitudes rigides, crispées (les mâchoires...), qui masquent mal son besoin profond d'auto-contrôle, ce qui le fait ressembler étrangement à un communicant engoncé par la multitude de conseils qu'il s'infligent par le biais de conseils en communication. Il peut aussi avoir cette propension à éructer, à surjouer l'autorité et à jouer de la plus pitoyable des façons la vertu outragée et montrer ainsi comme un nez au milieu du visage toute la fausseté qui l'habite et sans cesse à la manœuvre. Monsieur, dans un élan irrépressible, de bouffées délirantes, accuse à tout bout de champ « laâ haîîîîîne » des autres (le nec plus ultra des arguments « politiques » de cette indigente classe politique) alors que le triste accusateur, par effet miroir, ne fait que parler de lui... Il lui arrive aussi de mentir très souvent. D'ailleurs tout son système est battit sur cela. Un système du mensonge (tenu à bout de bras par ses aides de kampf de la Kommunicazion) qui, par l'intelligence et l'habileté qu'il requiert pour le maintenir, pour son malheur, lui font défaut, lui faisant régulièrement perdre les pédales. Le pauvre... le pauvre type... le crétin, le bouffon. Le fou ?
En
un mot, en ce temps de spectacle permanent des maladies politiques tyranniques : un psychopathe.
Libellés : autoritaire, crétin, dérive, Manuel Valls, narcissique, narcissisme, national-socialisme, Onfray, pathologique, psychopathe, socialisme, totalitaire
mardi, mars 03, 2015
Manuel Tartuffe Valls
Aussi
ne vois-je rien qui soit plus odieux
Que
le dehors plâtré d'un zèle spécieux,
Que
ces francs
charlatans,
que ces dévots
de place,
De
qui la sacrilège et trompeuse grimace
Abuse
impunément et se joue à leur gré
De
ce qu'ont les mortels de plus saint et sacré,
Ces
gens qui, par une âme
à l'intérêt soumise,
Font
de dévotion métier et marchandise,
Et
veulent acheter crédit et dignités
À
prix de faux clins d'yeux et d'élans
affectés,
Ces
gens, dis-je, qu'on voit d'une ardeur non commune
Par
le chemin du Ciel courir à leur fortune,
Qui,
brûlants et priants, demandent chaque jour,
Qui
savent ajuster leur zèle avec leurs vices,
Sont
prompts, vindicatifs,
sans
foi,
pleins
d'artifices,
De
l'intérêt du Ciel leur fier
ressentiment,
D'autant
plus dangereux dans leur âpre
colère,
Qu'ils
prennent contre nous des armes qu'on révère,
Et
que leur passion, dont on leur sait bon gré,
Veut
nous assassiner avec un fer sacré.
Molière,
Tartuffe, acte I scène 5
Libellés : LDJ, Manuel Valls, Pussy Riots, Tartuffe